Lorsque la facture de 370 $ est arrivée un mois plus tard, j’ai réalisé que la règle empirique était terrible pour ma maison de deux chambres, qui a été construite dans les années 1960 avec une isolation traitée après coup. Une fois que la maison a atteint 68 degrés, elle n’a pas pu conserver cette température pendant longtemps, de sorte que le four s’est rallumé environ 20 minutes plus tard.
Tout cela pour dire que l’économie d’énergie avec la technologie nécessite une réflexion indépendante. Bien que laisser le thermostat à 68 toute la journée puisse avoir du sens pour les petits appartements dans des bâtiments bien isolés, il s’agit d’un conseil générique dont de nombreuses maisons ne bénéficieraient probablement pas, a déclaré Ben Brown, chef de produit Google pour le thermostat Nest.
Au lieu de cela, posez-vous quelques questions. Quelle est la taille de votre maison ? Que savez-vous de l’isolation ? Combien de temps faut-il pour chauffer de quelques degrés ? Et le plus important, à quelle température vous et votre famille vous sentiriez-vous à l’aise ?
En novembre, j’ai décidé d’essayer d’améliorer le fonctionnement du Nest avec ma maison cet hiver. Après avoir modifié les paramètres du Nest et étudié mes dépenses énergétiques tous les jours pendant un mois, j’en ai conclu que c’était le meilleur horaire pour ma maison :
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6 h 30 : Montez la température à 66, pour quand il est temps de sortir du lit.
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8 h : réglez la température sur 60 pour que la température baisse régulièrement tout au long de la journée. Cela a rendu la maison un peu froide mais tolérable en portant un pull.
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20 h : Augmentez la température à 66 °C, lorsqu’il fait froid la nuit (et après la période de pointe de PG&E).
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23h : Réglez la température sur 57, pour l’heure du coucher.
Au cours de cette expérience, le thermostat Nest m’a également averti que ma fournaise s’allumait et s’éteignait toutes les quelques minutes, ce qui signifiait que quelque chose n’allait pas. J’ai embauché un professionnel du CVC qui a diagnostiqué et résolu le problème : la pression du gaz était trop élevée, provoquant une surchauffe et un arrêt automatique de la fournaise.
Cette solution, associée au planning de chauffage programmé, a entraîné une baisse significative de mes factures.
2. “L’énergie vampire” est un problème exagéré.
En décembre, après avoir terminé mon expérience avec le gaz, j’ai tourné mon attention vers l’électricité. Les résultats étaient moins remarquables.
J’ai testé les prises intelligentes de TP-Link, qui propose une application pour smartphone permettant de programmer les interrupteurs et les appareils pour qu’ils s’allument et s’éteignent selon un horaire. J’ai également branché des appareils qui étaient des contrevenants fréquents à l’énergie dite vampirique, qui aspirent de l’énergie même lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Ils comprenaient un grand haut-parleur, un chargeur d’ordinateur portable et un chargeur de téléphone, pour lesquels j’ai programmé les prises pour qu’elles ne restent allumées que lorsque j’étais susceptible de les utiliser.